jeudi 31 mai 2012

Guenièvre de Nancy Mc kenzie

Nancy Mc Kenzie est née aux Etats-Unis en 1948 ; elle est passionnée par la légende du roi Arthur et chacun de ses romans est centré sur l'époque Arthurienne biensur.
Ces deux volumes, je les ai relu en fin d'année dernière (oui parfois les chroniques sont longues à venir !) et pour avoir parcourus plusieurs titres et auteurs sur cette période, kidnappée il y a presque treize ans par ma Bretagne adoptive, je me suis plongée corps et âme dans ces légendes que je sentais vibrer en moi à chaque promenade dans notre belle forêt de Brocéliande ; bref, pour avoir déjà lu sur ce sujet, avec Nancy, j'ai été plus touchée par le côté personnage et humain que par le coté magie et cela ne m'a pas déplu puisque le sacré n'est jamais oublié dans l'histoire. Et je ne voudrais pas jouer ma "féministe" mais pour une fois, nous sommes bien du côté Guenièvre et non du côté Arthur ! et toc ! Quatrième de couverture : "Guenièvre est encore une très jeune fille lorsque se pose sur elle le regard du Haut Roi. Le grand Arthur, Excalibur en main, a soumis les hordes saxonnes, unifié le royaume, et jeté son dévolu sur la princesse. Guenièvre s'apprête à devenir la reine d'une Bretagne pacifiée, sous le regard bienveillant du fougueux Lancelot et du sage Merlin : le destin que lui prédit dès sa naissance la sorcière Giselda se réalise. Mais la prophétie annonçait aussi qu'un grand malheur s'abattrait sur le couple royal quand auréolé de gloire, il serait au comble du bonheur....."
Rivalités entre druides et chrétiens, complots entre Pictes et Saxons...Rumeur de trahison à l'intérieur même du chateau...Lancelot écarté du palais, Guenièvre loin de son roi qui doit affronter les assauts répétés de ses détracteurs... Intrigues, sentiments, surprises et rebondissement, j'y ai puisé un peu de tous ces ingrédients qui font qu'un roman est vraiment distrayant, un roman qu'on relie, la preuve. Une belle écriture, ce qui ne gache rien. Une jolie façon de faire une entrée dans cette légende mais d'un autre regard. Aux éditions Pocket 516 et 769 pages

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